Même s'il y a eu des progrès, je ne suis pas tout à fait d'accord.
Si les résultats étaient identiques, les astrophotographes shooteraient la Voie lactée à la GoPro plutôt qu'avec leurs boitiers 24x36. Ce qui n'est pas le cas...
Je n'ai pas de GoPro (ouverture fixe; c'est pas top...) mais la qualité de bruit d'un compact à capteur 2/3 de pouces (Canon S120) reste acceptable à 200 ou 400 Iso, pas plus (et l'ouverture, modifiable, est limitée à F1/8.
Un capteur micro 4/3 reste propre à 800/1600, un capteur 24x36 reste très très propre à 3200 ou 6400 iso, et atteindra des résultats acceptables à des valeurs inimaginables auparavant (25000 ou plus).
Après, ça dépend aussi des images que l'on veut faire. Effectivement, si on aime la macro, pour avoir une grande zone de netteté sur la bestiole, il vaut mieux fermer le diaph, et pour cela, pouvoir monter en Iso sans craindre d'avoir une image aux couleurs crados.
Même si les traitements numériques (embarqués ou en post prod) ont progressé, il reste quand même un vrai écart.
Après en macro, pour les bestioles craintives, un petit coup de zoom pour la cadrer plus serré sans la faire partir, c'est un vrai plus.
Pour le poisson rare en pleine eau mais un poil loin, un p'tit coup de zoom, si l'eau est claire, ça permet de garder un souvenir.
Ça vaut donc le coup d'interroger ses besoins, ses envies.
Le mix pour choisir, c'est budget/niveau d'expérience de l'opérateur/usage plus ou moins avancé en photo ou en vidéo/adaptabilité (ambiance, macro, grosses bêbêtes/transportabilité (voyages ou pas) et... plaisir (toujours) ;o))).